Il y a quelques jours, c'était encore l'année Alkan (1813-1888). Pour que ce grand romantique reste bien vivant, voici une interprétation hors du commun : le dernier mouvement du difficile (au-delà du raisonnable) concerto pour piano solo par M.-A. Hamelin. Liszt ne tarissait pas d'admiration au sujet de la virtuosité du pianiste Alkan. En voici la réincarnation, bien vivante.
Voici l'adresse directe du fil sur Marc-André Hamelin